Le temps de vivre
J'aime les jours où il n'y a pas de nuages, quand le soleil éclaire vraiment, quand il fait calme et que tout est beau, quand la douce chaleur fait claquer le bruits des pas, crisser les pneus sur le gravier dans les odeurs de bitume et de poussière.
La lumière se plaque contre les murs, les rayons se faufilent entre les immeubles et flirtent avec les carreaux.
Le moindre bruissement raisonne avec une fraîcheur d'inédit, de naissance, de vie.
J'aimerais tellement que tu sois là pour en profiter, et pourtant tu es là, je le sens.
La ville ressemble à une maquette tant cet éclairage est grandiose, on est keudale face à ça, et ça c'est toi maintenant.